Bruxelles
Je rentre d’un petit séjour à Bruxelles avec un petit lutin de rouge vêtu. Des ballades, des rencontres, de l’émotion, des rires, une ambiance beaucoup de complicité et de partage.
Et puis, une rencontre, avec un peintre et son univers : Léon Spilliaert.
Pour le définire en reprenant la première lettre de son nom : sobre, sombre, symbolique.
Il se situe entre deux mondes le réel et l’irréel, le sable et la mer, avec des personnage figés dans l’espace et dans le temps prêt à basculer d’un coté où de l’autre. Ses silhouettes parfois esquissées laissent à chacun le soin de se les approprier et de vivre l’histoire qu’il ne fait que suggérer mais son pouvoir de suggestion est très fort.
Et puis une incroyable salle remplie d’autoportraits où il ne finit par ne plus rester que des regards profonds et incroyablement sombres.