27 juillet 2007
Le baiser
I m lonely without skin by Foureyes
« Comme j’ai pleuré, pendant des nuits entières sur les pauvres femmes de jadis, si tendres, si douces, dont les bras se sont ouverts pour le baiser et qui sont mortes !
Le baiser est immortel, lui !
Il va de lèvre en lèvre, de siècle en siècle, d’âge en âge.
Les hommes le recueillent, le donnent et meurent.
Maupassant – Contes fantastiques – La chevelure.
Je dévore ce recueil de nouvelles farfouillé je ne sais plus où dans la version des ‘classiques Hachette’ qui rajoute plein de commentaire intéressants sur le contexte, l’époque…
C’est ma lecture du métro en ce moment.
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