28 septembre 2006
la tête en feu
La tête en feu by Martine Carles
« En elle, elle sentait dépérir les élans, les orages de sa
jeunesse. Elle était en train d’apprendre que dans sa vie, tout- santé,
bonheur, et même l’amour- dépendait du paysage ; les climats intérieurs
étaient indissociablement liés aux climats extérieurs. Il y avait des
zones de calme dans ses artères, des ciels gris dans ses poumons. »
Anthony Doerr ‘le nom des coqillages – Mkondo’
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